Démantèlement d'un réseau de trafic d'armes en Espagne : cinq personnes arrêtées 25/03/2013
Madrid - Un réseau de trafic d'armes en Espagne a été démantelé par la garde civile, a annoncé lundi le ministère espagnol de l'intérieur dans un communiqué publié à Madrid.
Cinq personnes ont été arrêtées lors de cette opération dite "Velado" menée dans la province de Barcelone (nord-est de l'Espagne) et qui a été soldée par la saisie de 59 armes à feu et de 15.000 cartouches métalliques de différents calibres, et de matériels pour la réhabilitation, la reconversion et la réparation d'armes, ajoute le ministère espagnol.
Selon la même source, l'organisation qui opérait dans toute l'Espagne, s'était procurée de manière "irrégulière" des armes inutilisables avant de les transformer en armes à feu réelles, en utilisant des pièces fondamentales d'autres armes. Par la suite, les membres du réseau font écouler les munitions sur le marché noir, explique-t-on de même source.
L'enquête a débuté en 2011 à la suite de la détection de l'utilisation d'armes à feu dans des actes criminels comme un double homicide survenu dans la région de Murcie (sud), selon le communiqué.
La garde civile a mis la main sur 48 pistolets de différentes marques (Glock, Walther, Smith & Wesson, Colt, Star, Astra, Llama, Bul, SPS), une somme de 4.000 euros obtenue grâce à la vente d'armes illégales, et a saisi plusieurs documents et matériels informatiques, poursuit le communiqué.
Les prévenus dont l'identité n'a pas été révélée ont été présentés devant la justice.
Cinq personnes ont été arrêtées lors de cette opération dite "Velado" menée dans la province de Barcelone (nord-est de l'Espagne) et qui a été soldée par la saisie de 59 armes à feu et de 15.000 cartouches métalliques de différents calibres, et de matériels pour la réhabilitation, la reconversion et la réparation d'armes, ajoute le ministère espagnol.
Selon la même source, l'organisation qui opérait dans toute l'Espagne, s'était procurée de manière "irrégulière" des armes inutilisables avant de les transformer en armes à feu réelles, en utilisant des pièces fondamentales d'autres armes. Par la suite, les membres du réseau font écouler les munitions sur le marché noir, explique-t-on de même source.
L'enquête a débuté en 2011 à la suite de la détection de l'utilisation d'armes à feu dans des actes criminels comme un double homicide survenu dans la région de Murcie (sud), selon le communiqué.
La garde civile a mis la main sur 48 pistolets de différentes marques (Glock, Walther, Smith & Wesson, Colt, Star, Astra, Llama, Bul, SPS), une somme de 4.000 euros obtenue grâce à la vente d'armes illégales, et a saisi plusieurs documents et matériels informatiques, poursuit le communiqué.
Les prévenus dont l'identité n'a pas été révélée ont été présentés devant la justice.
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